Un espace pour revenir à soi, en sécurité.
Je suis là pour celles et ceux qui ont besoin de poser leurs bagages.
Celles et ceux qui ne se sentent plus à leur place, qui ont oublié leur puissance, qui veulent comprendre ce qu’ils portent et retrouver ce qui leur appartient.
Je m’appelle Natalie, je suis kinésiologue certifiée, coach, consultante en émotions, spécialisée en périnatalité, en libération des mémoires familiales et en énergétique.
Mais au-delà des titres, je suis surtout une présence bienveillante et engagée, une gardienne d’espaces intérieurs, une facilitatrice de transformation.
Mon intention
À travers Graine de Soi, j’ai créé un espace pour que chacun puisse :
- Se reconnecter à son corps, son premier guide.
- Se libérer de ce qui l’alourdit : émotions enfouies, héritages familiaux, croyances limitantes.
- Revenir à sa place, pas celle qu’on lui a donnée… celle qu’il choisit.
- S’autoriser à être pleinement soi, sans masque, sans rôle à jouer.
Ma posture
Je ne suis pas là pour te dire quoi faire.
Je ne te soigne pas.
Je ne te corrige pas.
Je t'accompagne.
Avec respect, avec confidentialité, avec confiance.
Car tu es l’expert(e) de ta vie.
Mon rôle est de marcher à tes côtés, de traduire ce que ton corps essaie de dire, de soutenir l’éveil de ce que tu es déjà au fond.
Ce que je crois profondément
- Que nous n’arrivons pas ici par hasard.
- Que notre corps est une mémoire vivante, et une clé de transformation.
- Que chaque être humain a en lui la puissance de se relever, de se libérer, de s’aligner.
- Que la colère est une force vitale, que les enfants sont des éveilleurs de conscience, que les émotions ne sont jamais un problème.
- Que reprendre ses responsabilités, ni plus, ni moins, permet à chacun de retrouver sa juste place.
Quelques mots sur moi
Depuis toujours, je m’intéresse à l’être humain : sa complexité, sa puissance, ses ombres, ses lumières.
C’est ce qui m’a menée vers des études de psychologie, puis de sciences de l’éducation, pour finalement me former au métier d’éducatrice spécialisée.
Mais je n’ai jamais aimé les chemins tout tracés.
Alors je suis allée voir l’humain là où il était souvent invisibilisé : en psychiatrie, en addictologie, en foyer, dans les quartiers, les familles en précarité, les maisons d’arrêt, les structures d’insertion…
J’ai travaillé avec des adolescents en perte de repères, des adultes immigrés retrouvant leur dignité à travers le travail, des personnes sous emprise, d’autres brisées par la vie, pensant avoir tout perdu.
J’ai rencontré des personnes vraies, brutes, magnifiques.
J’ai traversé avec eux des tempêtes, des silences, des colères.
Et j’ai reçu en retour une richesse humaine infinie.
Mais je savais que je n’exercerais pas ce métier toute ma vie.
Au fil des années, mes valeurs se heurtaient de plus en plus aux contraintes du système : injonctions institutionnelles, déshumanisation des décisions, éloignement du cœur du métier.
L’humanité n’était plus au rendez-vous. Après un burn out, je suis devenue maman. Ma vision de la vie a changé, et puis je suis retournée dans le social.
Mais la situation ne s'était pas améliorée. Ni dans la hiérarchie, ni dans les politiques sociales, parfois même autour de moi.
Et puis je suis devenue maman à nouveau.
Ma vision du monde a encore évolué. Je ne me sentais plus du tout en phase avec mon travail, et puis un jour j’ai dit stop. J’ai ressenti le besoin urgent de me recentrer, de me reconnecter, de me réaligner.
J’ai quitté le social et je suis partie à l’aventure sans savoir où mais avec une foi inébranlable que quelque chose d’autre serait sur mon chemin.
C’est alors que la kinésiologie a débarqué dans ma vie.
Et depuis, elle ne m’a plus quittée.
Elle m’a permis de réunir tout ce que j’aimais profondément : l’écoute du corps, la profondeur des émotions, la conscience des transmissions invisibles et cette foi inébranlable en la capacité de chacun à se relever, à se réparer, à se révéler.